Saison 3 : 2013 - 2014
Accompagné par Viviane LEROY et Joseph SANGIORGIO, respectivement coordinatrice générale et directeur général délégué et Hervé Defalvard responsable de la CHAIRE ESS, les étudiants Cécile Ménager, Laurence Pfeiffer, Stéphanie Gricourt,Sylvie Feltmann, Antoine Duhaillier du Master II MIESS « management de l’insertion par l’économie sociale et solidaire » ont réalisé une etude de faisabilité de création d'une coopérative étudiante : coop'à-prendre.
Des pistes ont été suivies sur l’année 2013-2014 :
- La valorisation du traitement de certains déchets et notamment les papiers sur le site universitaire
- L'exploitation de terrains mis à disposition pour le développement d'activités de maraîchage sous forme de jardins étudiants, familiaux, mixtes ou partagés, présentant l'avantage de pouvoir être déployées à court terme.
- Dans une perspective de moyen terme (deux à trois ans), une troisième activité pouvait être exploitée avec l'aménagement d'un lieu de restauration adossé à un espace d'animations culturelles dans une partie des locaux de l'espace Rabelais, bâtiment situé au centre du campus universitaire.
Le travail de recherche et la production d’un état des lieux des « filières », après nous être assuré, en interne, de la faisabilité de chaque type d’activité:
1- d'aménagement de l'espace culturel Rabelais (création d'un lieu un lieu de restauration,un lieu d'animation du campus etun lieu d'échanges)
Il s'agissait de concevoir et d'offrir aux usagers du campus un espace polyvalent autour de ces trois axes principaux (restauration, culture et insertion professionnelle), le but étant de concevoir un espace ouvert sur la ville et ses acteurs, un terrain de rencontres et d'interface entre l'université, ses étudiants et personnels, et les partenaires locaux.
Cette piste de recherche n’a finalement pas été retenue pour l’année 2013-2014, les locaux n’étant pas disponibles et encore en travaux.
2 - l'activité économique centrée sur l’occupation et la valorisation des espaces verts du campus :
- création de jardins familiaux et étudiants, des pistes pouvant être suivies pour l’occupation d’une activité "agricole" sur ce terrain,
un groupe s’est penché sur ce dossier et a décidé de lister les possibilités et les questions à se poser pour envisager une étude de faisabilité.
Le projet de jardin se trouvant subitement sans terrain, nous devons arrêter nos travaux.
- Plantation d’arbres fruitiers sur des parcelles libres, nous n’avons pas développé ce projet, il n’a pas rencontré l’intérêt escompté.
- L’installation de ruches sur les toits, valorisation de l’apport de Coop’ à-Prendre dans ce projet,
qui malgré un accueil favorable des responsables de l’UPEM, n’a pas encore de moyen, de légitimité, d’ancrage juridique, de projet écrit qui puisse assurer dans la durée la continuité de l'initiative d'une année à l'autre, garante, selon lui, de la réussite des projets.